De l'union de nos designs avec l'éditeur de mobilier Gurdó est née la ligne de mobilier urbain MU Gurdó. Efficacité énergétique, résistance, confort et design durable sont compatibles. La ligne comprend les éléments suivants:
-Lampadaire
-Lampadaire photovoltaïque
-Banc
-Banc de rue
-Table
-Corbeille
-Parking à vélos

[Voir le catalogue]

Il est proposé de rénover la couverture de la place San Antón Armuru à l'aide d'un élément sculptural qui, tout en couvrant l'espace de manière polyvalente, garantit la possibilité (physique et économique) de réaménager et d'améliorer l'espace, en assurant une accessibilité totale et en mettant en valeur l'église San Antón. Les principaux objectifs de la proposition sont les suivants :
1-Récupération de l'espace de la place > Clarifier/Agrandir.
2-Création d'un élément de couverture, puissant mais neutre.
3-Création d'un espace polyvalent > 1 place, 3 places.

L'aménagement et la proposition d'utilisations sont envisagés selon une vision multiple : territoriale, avec la mise en œuvre d'utilisations à portée territoriale liées à l'environnement naturel ; municipale, comme nouvelle porte d'entrée vers Chiclana pour les espaces libres et les équipements, ainsi que pour les activités économiques et sportives complémentaires au tourisme saisonnier de soleil et de plage ; Local, en réaménageant le quartier avec une nouvelle image et une nouvelle relation avec la mer, une semi-piétonisation et une différenciation des espaces centraux. Le plan d'utilisation mise sur : 1. La mise en valeur de l'intérêt historique et culturel de l'ancien village de pêcheurs grâce à la restauration du patrimoine, de la structure morphologique, du profil, du paysage et à la mise en œuvre d'utilisations culturelles. 2. Intégrer des usages liés au parc naturel de la baie de Cadix et à ses paysages 3. Renforcer la localisation et la maturité touristique du lieu avec la mise en œuvre d'activités touristiques, commerciales, de restauration et de loisirs.

Le programme est organisé en un seul volume semi-fermé qui crée un jardin intérieur privé relié aux espaces communs du rez-de-chaussée. Aux étages supérieurs, grâce à une organisation en couloir qui pivote en fonction de l'ensoleillement, les typologies sont positionnées de manière à garantir la meilleure orientation des espaces principaux du logement. Les services et les usages similaires sont regroupés, ce qui permet d'obtenir des logements avec une ventilation transversale et des terrasses-patio qui apportent confort et qualité. Une typologie unique garantit l'équité entre les utilisateurs. Même s'il s'agit de typologies de 45 m², l'existence de diagonales visuelles à l'intérieur du logement augmente la sensation d'espace.

Une gamme de mobilier au design simple et robuste est proposée, avec une standardisation des géométries, des assemblages et des matériaux. La continuité esthétique et technique entre tous les éléments, la réduction au minimum du nombre de matériaux à trois (bois de châtaignier, corde de chanvre et acier galvanisé) et le choix de matériaux naturels renouvelables sont les prémisses du projet. L'utilisation de matériaux durables et recyclables issus du patrimoine culturel local (le châtaignier dans la construction et le chanvre dans les arts de la pêche) et la garantie de durabilité complètent le design et permettent une intégration optimale de l'ensemble dans la diversité paysagère de la réserve. La proposition permet une réduction de 78 % des émissions de KgCO2 par rapport à une gamme standard de mobilier urbain, et l'option photovoltaïque des lampadaires rend leur installation viable dans des endroits non électrifiés. | Troisième prix

Le bâtiment de l'Escola d'Arquitectura, œuvre de l'architecte Lluís Nadal, devait être mis en conformité avec la réglementation en vigueur en matière d'accessibilité, de sécurité et d'incendie. La plus grande complexité réside dans la division du bâtiment en 4 secteurs d'incendie sans modifier la structure principale ni les circulations et les usages actuels. L'objectif de la proposition est de mettre le bâtiment en conformité avec les normes en intervenant le moins possible, afin que l'ouvrage existant conserve son caractère et la relation entre ses éléments d'origine. Ainsi, les cours centrales ont pu conserver leur valeur. Les autres interventions améliorent également la sécurité des circulations et transforment le bâtiment en une école entièrement accessible.

Le client nous contacte après avoir acheté une maison sombre et fragmentée dans un quartier résidentiel. L'opération de rénovation va au-delà de la demande initiale de rénovation des finitions intérieures et vise, grâce à une intervention minimale, à modifier la façon d'habiter la maison, en créant de nouvelles circulations, en permettant une plus grande polyvalence dans les limites de l'espace et en apportant de la luminosité à toutes les pièces.

Le projet mise sur un aménagement qui organise le secteur à travers le dialogue avec son environnement. Il propose de singulariser l'espace à travers la configuration de trois zones différenciées, une place centrale, un parc urbain et un bâtiment équipé + activité économique qui structurent les parcours et dotent le domaine de fonctionnalité. Contrairement à la réalité actuelle, il mise sur la récupération de la continuité du sol comme élément basique de l'espace urbain. L'aménagement volumétrique en un volume composé de trois parties permet une lecture différenciée depuis les deux façades et garantit que, malgré son volume important, le bâtiment soit attentif à chacune des singularités de l'environnement, facilitant ainsi la gestion, le développement et la flexibilité des usages. De cette manière, c'est l'intégration dans la ville, et non le bâtiment, qui est le véritable protagoniste.

La proposition prévoit la réhabilitation du tronçon central de la Riera de Arbúcies à son passage dans la vieille ville. Pour ce faire, il est proposé de reconsidérer les espaces centraux existants, de créer un quatrième espace central de référence et de revoir les itinéraires piétonniers dans la vieille ville. Le projet divise la promenade fluviale/itinéraire en trois tronçons indépendants. La première phase mise sur la création d'une place-promenade qui génère une centralité complémentaire par rapport aux usages et aux activités de la vieille ville en adaptant les terrasses existantes. La solution adoptée articule les différents espaces à travers des rampes qui permettent un parcours agréable et accessible depuis la Pietat jusqu'au centre historique. En association avec celles-ci, il est proposé de créer des espaces de pause et de loisirs compatibles avec les usages anthropiques et les dynamiques naturelles de la Riera.

La proposition envisage l'extension de la ville de Jaca sous trois angles différents: La ville et son extension: l'objectif principal est de prolonger la rue Mayor, en dépassant la coupure topographique et urbaine entre le centre historique et le plateau du nouveau développement urbain. La ville, le tout et ses parties: l'enchaînement de différentes promenades dotées d'activités structure et organise les nouveaux développements résidentiels; un bâtiment en escalier constitue le lien entre la partie la plus basse de la ville et la nouvelle extension. L'identité, la structure et l'enveloppe: face à la dispersion souvent provoquée par la faible densité, la proposition récupère la valeur urbaine de la rue en tant qu'espace de référence. L'idée d'un cocktail typologique permet de construire un mélange social tout en prolongeant les activités qui génèrent l'urbanité. Deux éléments fournissent les règles de construction de la ville.

Le bâtiment est situé à l'angle où se trouvait autrefois la clinique del Carme. Sa géométrie variable est le résultat de l'adaptation physique au lieu, qui libère le rez-de-chaussée pour une meilleure adaptation à l'environnement, tandis que les étages supérieurs s'adaptent et mettent en valeur les façades voisines. Le projet comporte trois niveaux : le rez-de-chaussée, le sous-sol et le reste. Le rez-de-chaussée est considéré comme le prolongement de l'espace public-rue et permet des utilisations temporaires et une distribution vers les autres étages. Le sous-sol est une extension de ce programme, mais avec une utilisation comme salle d'exposition et salle de spectacle. Le troisième grand domaine est celui du programme prévu pour le centre civique, avec des activités fixes mais pouvant varier, en spécialisant en principe les étages par âge, scolaire, jeune, étude, seniors et activités physiques modérées, en profitant des terrasses avec vue sur la mer. | Photographies © Lourdes Jansana

La rénovation du Saló Daurat est entreprise afin de pouvoir y tenir les réunions du Conseil du gouvernement de la Generalitat de Catalunya. La fresque murale d'Antoni Tàpies est transférée dans cette salle et sert de toile de fond, cachant, grâce à deux grandes portes coulissantes, la circulation de service à l'arrière. Le plafond doré qui donne son nom à la salle et les grands lustres en cristal sont recouverts d'un tissu doré, délimitant le volume et rendant le travail autour de la table circulaire plus accueillant. Le tapis reprend le motif géométrique du sol. Le tableau de Tàpies est placé sur un socle en miroir afin de créer une impression de continuité avec le sol et de le faire flotter au-dessus de celui-ci. | Photographies © Lourdes Jansana | Prix FAD Opinión 2007

La proposition concentre sa réponse sur la relation qui s'établit entre les différents centres qui se sont manifestés au fil du temps sur le territoire, complétée par le discours toujours présent entre verticalité et horizontalité, entre ville et campagne. La stratégie distingue trois échelles associées aux trois types de projets qui construiront cette nouvelle centralité: L'échelle régionale qui apporte l'infrastructure d'accessibilité et de stationnement, l'échelle municipale associée au projet urbain pour la construction de l'espace collectif et l'intégration de services et de nouvelles typologies architecturales intégrées dans le paysage, l'échelle du lieu avec le projet d'urbanisation qui vise à créer une nouvelle image et à semi-piétonniser l'espace urbain linéaire actuel le long de la route. | Deuxième prix.

L'Alameda de Hércules, un espace qui avait été relégué au rang de parking, est mis en valeur et retrouve son caractère d'espace public et de lieu de rencontre. Le projet prévoit la plantation de 360 nouveaux arbres afin de mettre en valeur la promenade entre les deux paires de colonnes. La circulation automobile est réduite afin de donner la priorité aux piétons et aux terrasses des bars. Le revêtement est en pavés et la topographie est légèrement modifiée afin que les colonnes qui se trouvaient dans une fosse puissent émerger complètement. Les pentes douces améliorent la visibilité des spectacles en plein air. Les deux kiosques existants sont accompagnés d'autres kiosques du même type, avec de nouvelles pergolas sur des supports en béton pour permettre des utilisations temporaires à l'ombre. Trois nouvelles fontaines avec de l'eau pulvérisée entre les joints de grès blanc et bleu ont également été ajoutées. | Photographies © Lourdes Jansana

La révision du Plan Général de Rubí restructure la ville à partir des atouts actuels et de l'incorporation de nouveaux. Le nouveau modèle repose sur trois piliers. Modèle de ville : planifier, qualifier et diversifier. Modèle de croissance : densification du tissu urbain existant, reconversion des tissus et augmentation rationnelle de l'intensité de construction. Modèle économique : maintien de l'héritage industriel et intensification du tissu existant. Le plan intègre des propositions d'intervention pour la transformation et le réaménagement de l'espace urbain existant, appelées « zones d'opportunité ». L'ensemble de ces zones devra être capable de configurer les nouveaux espaces de référence pour l'avenir de Rubí. Quatre types sont définis : parcs territoriaux et urbains, le front de la Riera, les zones centrales et les zones industrielles. | Approbation provisoire

Le Plan d'Aménagement de l’Ille de La Palma est l'instrument d'aménagement des ressources naturelles, territoriales et urbaines de l'île qui définit le modèle d'organisation et d'utilisation du territoire afin de garantir son développement durable. Ainsi, la durabilité est considérée comme un principe général pour la définition du modèle territorial basé sur les principes suivants : l'île comme unité de référence, les valeurs naturelles et environnementales comme ressource, l'agriculture comme référence économique et sociale, la population locale comme protagoniste, les infrastructures comme support et service des activités économiques, la promotion des transports publics et des équipements, le réseau de centres urbains et le tourisme comme option d'avenir. | Approbation définitive

Le Schéma Directeur Territorial de l’Alt Penedès fait partie du Plan Territorial Métropolitain de Barcelone. Les particularités de la région ont conduit à rédiger ce plan séparément, mais de manière coordonnée, afin de l'intégrer par la suite. L'objectif du Plan directeur est de garantir le développement du territoire de la manière la plus efficace et la plus durable possible, en apportant, grâce à une vision d'ensemble, des critères permettant de concilier les attentes de croissance à différents niveaux (humain, industriel, urbanistique, infrastructurel, etc.) avec la préservation des valeurs environnementales de la région (espaces naturels, paysage viticole, corridors biologiques, etc.). La structuration du territoire est définie à partir de trois systèmes de base : le système des espaces ouverts, le système des agglomérations urbaines et le système des infrastructures de mobilité. | Approbation définitive

L'agrandissement du CCCB occupe une partie du cloître de la Casa de la Caridad et le théâtre de l'architecte Josep Goday. Le projet, tout en intégrant un nouveau programme, vise à mettre en valeur l'architecture de ces deux époques. Afin d'améliorer la connexion avec le bâtiment actuel du CCCB, un passage physique est construit sous la place, auquel est annexé un grand magasin. Le hall du rez-de-chaussée organise les accès et les connexions vers le passage et les autres étages, l'étage mezzanine avec le programme de bureaux et l'étage principal du théâtre. À l'entrée depuis la place, le volume construit est en retrait afin de laisser place à un porche d'accès couvert. Sur la façade donnant sur la place, les arcs sont maçonnés afin de réduire l'ensoleillement et des ouvertures en forme de lettres permettent d'identifier le bâtiment comme faisant partie du Centre culturel. | Photographies © Lourdes Jansana

Le bâtiment est conçu selon un nouveau projet d'aménagement. La difficulté du lieu, adjacent à une station-service, conduit à créer un espace public propre au sein du terrain, grâce à des terrasses d'accès communes qui divisent le volume construit en deux, permettant ainsi une ventilation transversale et l'éclairage de chaque logement. La proposition d'aménagement est conçue avec un maximum de flexibilité, une cellule de base à laquelle s'ajoute un module et qui permet d'obtenir un logement individuel, un studio, deux chambres, un logement adapté, etc. Comme il s'agit de logements destinés à la location, les cuisines et les toilettes sont standardisées et disposent d'un grand espace de rangement. Du point de vue de la construction, les systèmes industrialisés et les panneaux en béton préfabriqué permettent une construction rapide et économique et, dans un souci de respect de l'environnement, une déconstruction facile.

Une scénographie et des costumes pour un opéra comique, qui doit nous permettre de nous divertir et de rire. Le thème sous-jacent est le vieillissement, la perte de la capacité à contrôler ce qui nous arrive, le décalage entre la force que nous pensons avoir et ce que notre corps nous permet de faire. Un problème éternel, qui devient aujourd'hui pathétiquement visible chez tous les hommes mûrs qui se lancent en t-shirt et caleçon dans la rue (en essayant de ne pas se faire voir) pour rassurer ainsi le docteur Malatesta particulier, qui nous a assuré que l'exercice physique est la clé pour atteindre le bien-être. Et nous ne voulons pas le contredire, de peur qu'il ne nous mette en plus au régime. Une scénographie simple, traditionnelle et conventionnelle est proposée pour une représentation dans laquelle le théâtre n'est pas seulement du théâtre, mais en a aussi l'apparence.